portugal § andalousie (oct 2015)
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Si vous passez par Burgos arrêter vous à ce village très sympathique quelques kilomètre avant. Car sur le parking de burgos, il y a eu des camping-car abimés.
http://www.campercontact.com/fr/espagne/castilla-y-leon-05-09-24-34-37-40-42-47-49/briviesca/20093/aire-de-camping-car-area-de-briviesca.aspx
temps : froid 14 ° en moyenne
au calme, près des arènes.
ELVAS au portugal
l'aire ce trouve en bas du belvédère.
elvas la vieille ville
paysage frontière portugal/espagne - carrière de marbre - attention aux chats sur les aires !
Informations générales
Emplacement spécial pour motorhome | Capacité d'accueil max.: 20 | Durée de séjour max.: 48 uur | Ouvert du: 1/1 - 31/12
Renseignements sur les prix
Camping-car (2 personnes taxes incl.): Gratuit
Contact:
Ave Tulio Espanca, 7000 Evora, Portugal
Téléphoner: +351266777000
GPS:
N 38.56667, W -7.90667
N 38°34'00", W -7°54'24"
file:///Users/patricia/Desktop/Venez%20visiter%20Évora,%20la%20belle%20capitale%20du%20Alentejo.pdf
pluie, nous ne nous sommes pas arrêtés.
travaux sur la route vers albufeira.
bel aire de camping-car, très propre, un peu éloigné du centre, il faut un scoot ou des vélos.
Albufeira (mot tiré de l'arabe : البحيرة Al-Buheira voulant dire « la petite mer ») était à l'origine un petit port de pêche en Algarve, à l'ouest de Faro dans le sud du Portugal. Aujourd'hui, cette ville vit du tourisme durant la période estivale. C'est un peu le saint Tropez du Portugal où se rendent acteurs et stars du ballon rond. Désormais, la plage des pêcheurs est devenue un parking marbré où se mêlent véhicules l'hiver et podiums pour concerts l'été. Les pêcheurs quant à eux "jettent l'ancre" dans la nouvelle marina à quelques kilomètres du centre ville en direction de Guia. Beaucoup de célébrités portugaises et étrangères vont passer leurs vacances à Albufeira qui est sans doute le centre touristique le plus fréquenté d'Algarve.
menu pour 3 à - de 10 euro (par personnes)
juste passé.
possibilité lorsqu'il n'y pas de pèlerinage de stationner sur le parking pour 1 euro la nuit.
El Rocío: un village western au coeur de l'Andalousie
A l'est d'Huelva s'étend le parc de la Doñana, une région sauvage où les paysages ont des airs de Far West ou d'Afrique subsaharienne. Le petit village sacré d'El Rocío qui jouxte le parc est un véritable paradis pour les cavaliers avec ses rues en terre battue: chaque année de nombreuses processions à cheval y ont lieu pour fêter la Vierge del Rocio.
Le 4x4 roule au milieu d'immenses étendues de sable au bord de l'Atlantique.
Nous sommes à l'extrême sud de l'Espagne, dans le Parc naturel de la Doñana, où les vastes étendues rappellent les paysages du Dakar ou du Far West américain.
Dans ce sanctuaire de la vie sauvage qui s'étend sur plus de 100000 hectares, les animaux sont rois: il n'y a pas de routes et seules les excursions en 4x4 sont autorisées (avec un guide uniquement).
En à peine une heure de balade au milieu des dunes, marais et pinèdes, nous avons pu apercevoir de nombreux sangliers, des daims et même de très rares aigles ibériques.
Le parc abrite de nombreuses espèces en voie de disparition comme le Lynx ibérique, le busard des roseaux ainsi qu'une faune exotique originaire d'Afrique comme la foulque à crête, la talève sultane ou la sarcelle marbrée.
Classé au patrimoine de l'UNESCO comme réserve de la biosphère depuis 1985, le parc a été depuis longtemps le territoire de chasse des Grands d'Espagne.
Les Ducs de Medinia Sidonia y ont leurs habitudes depuis 1563 bien avant que les rois d'Espagne comme Philippe IV ou Charles III s'y intéressent.
Aujourd'hui, le parc est toujours fréquenté par les grands noms du Royaume: le palais de las Marismillas au coeur du parc est la résidence de vacances de prédilection des présidents du gouvernement espagnol.
A l'intérieur du Palais, la décoration est sobre même si la salle à manger est grandiose avec son immense table en bois capable d'accueillir une dizaine de convives: Lionel Jospin ou Tony Blair, notamment y ont séjourné.
El Rocío: une ville andalouse aux airs de Far West
Le soir venu nous nous dirigeons vers El Rocío, une ville hors du temps où les rues en terre battue nous emmènent, loin, très loin de l'Europe.
Une balade en calèche s'impose pour découvrir l'ambiance western de cette ville réputée pour sa vie nocturne très particulière: ici l'on fait la fête, on boit, on chante...mais à cheval.
Devant les bars, des comptoirs à hauteur de cheval dans la rue permettent de déposer sa bière pour discuter entre cavaliers.
Dans les rues, des chanteurs et chanteuses improvisent des airs de Flamenco accompagnés d'une guitare espagnole: quelle ambiance!
El Rocío: un village sacré
Le village d'El Rocío est sacré en Andalousie: au XVIIIème siècle un berger aurait découvert une statue de la vierge au lieu dit El Rocina (aujourd'hui El Rocio) et l'aurait amené à Almonte.
Le matin en se réveillant, la statue avait disparue pour réapparaitre à El Rocina, à l'endroit exact où il l'avait trouvé.
Aujourd'hui un sanctuaire somptueux se dresse au coeur du village d'El Rocío en l'honneur de la vierge...qui cette année, comme tous les 7 ans est revenue exceptionnellement à Almonte.
En route avec les pélerins vers Almonte!
Nous nous levons tôt le matin pour aller à la rencontre de la confrérie de Triana originaire d'un quartier de Séville (il en existe plus de 102): elle part ce week-end du village d'El Rocío pour un pélerinage à Almonte.
L'ambiance est incroyable pour ce voyage de 4 heures à cheval entre les deux villes: les carioles sont pleines à craquer de provisions, de bières et de guitares.
Les belles sévillanes ont revêtu leurs plus beaux atours tout comme leurs cavaliers: certains chantent à tue tête, d'autres frappent les peaux des tambours ou restent silencieux, fiers et dignes.
Quelques heures plus tard à Almonte, la procession arrive dans les rues du petit village aux maisons blanches.
La foule qui suit les cavaliers devient de plus en plus compacte à mesure que l'heure avance: il devient presque impossible de se frayer un passage au milieu du cortège tant la foule est dense.
En soirée, lorsque le Simpecado (une statue représentant la vierge) se présente devant l'église d'Almonte, l'ambiance est frénétique.
La place centrale devant le lieu de culte n'est plus qu'une immense marée humaine.
Des centaines de fidèles tentent de rentrer dans l'église pour participer à la messe et communier .
Je me rends compte à quel point la ferveur andalouse n'est pas un mythe!
Ici, en Andalousie, j'ai découvert un autre monde.
Un monde de ferveur, de chants et de danses, où les chevaux communient avec les hommes
dans la passion.
Un monde où les grandes étendues sauvages sont aussi belles et sauvages qu'en Amérique ou en Afrique.
Cet autre monde n'est qu'à un jet d'avion de Paris, et pourtant ici tout semble si lointain...
«La terre est le probable paradis perdu», Federico García Lorca.
INFORMATIONS PRATIQUES:
- Y ALLER: la compagnie low-cost espagnole Vueling propose de nombreux vols directs au départ de Paris vers Séville. www.vueling.com
- PROCESSIONS ET FETES: de nombreuses processions ont lieu chaque wek-end avant la Pentecôte à El Rocío. La plus grande procession qui rassemble toutes les confréries a lieu durant la Pentecôte.
Cette année exceptionnellement la Statuette de la Vierge est venue à Almonte du 13 août 2012 au 7 septembre 2013, d'où des processions entre El Rocío et Almonte.
La Statuette de la Vierge del Rocío vient à Almonte tous les 7 ans: elle y était venue auparavant en 2005-2006.
- LOGEMENT ET ACTIVITES: l'hôtel Toruno est bien situé au coeur du village d'El Rocío (voir le restaurant ci-dessous).
Il est possible de louer des appartements ou des maisons dans le village d'El Rocio.
Sinon il existe une improtante offre hôtelière à Matalascanas (comme l'hôtel Carabela Beach) ou à Almonte.
La plage de 28 km du parc naturel de la Donana est parfaite pour les amoureux de farniente.
Ceux qui veulent admirer la beauté du parc pourront l'explorer en 4x4 ou à cheval.
La région est également propice à l'organisation de séminaires pour les entreprises avec de nombreuses activités possibles: cheval, 4x4, plages, bons restaurants à Huelva, Cadix ou à Sanlucar de Barrameda, vie nocturne et visites à Cadix ou Séville, dégustation de Xérès...
Location de chevaux à El Rocío: 0034 652065912 / 695 784516 / 662 06 06 82.
Location de chevaux au parc de la Doñana: http://www.donanaacaballo.es.
-RESTAURANTS:
A El Rocío:
- Restaurant Toruño: un restaurant qui sert une cuisine andalouse et où l'on peut dîner en écoutant du Flamenco dans une salle privatisable. Bar animé à côté du restaurant avec une grande terrasse sous un olivier.
La Giralda se dresse au-dessus du centre historique de Séville : cet ancien minaret, reconverti en clocher de la cathédrale, raconte à lui seul l'histoire de la Reconquista et rappelle l'héritage issu de la présence maure en Andalousie : un raffinement architectural grandiose que l'on retrouve dans l'Alcazar de Séville, toujours pourvu de ses agréables jardins...
En plus de ces deux monuments exceptionnels, la Casa Lonja, abritant les archives des conquêtes coloniales espagnoles, est classée au patrimoine mondial par l'Unesco... C'est dire la richesse architecturale de Séville ! De nombreux autres sites sont à découvrir, à travers les rues du quartier typique de Santa Cruz, au fil des différentes places de la ville, où règne une animation toute méditerranéenne. Car Séville, c'est aussi une atmosphère toute particulière, une ambiance propre à cette ville.
Les nuits de Séville...
Une ville qui vit principalement le soir : rues et places font le plein à mesure que la chaleur décline, c'est alors que l'on goûte pleinement au mode de vie sévillan, dans les restaurants pour s'attabler autour de spécialités du coin, dans les bars du centre-ville, mais aussi et surtout simplement dans la rue.
A ne surtout pas manquer: assister à un spectacle de flamenco, tant ce dernier fait partie intégrante de la culture andalouse. La vie nocturne sévillane bat ensuite son plein jusque tard dans la nuit.
Vient ensuite l'heure de rentrer à l'hôtel : il existe quelques adresses d'exception dans des immeubles historiques du centre de Séville, mais bien sûr, séjourner en plein coeur de la ville reviendra plus cher que si l'on s'éloigne des zones touristiques. Les petits budgets regarderont du côté des pensions hors centre historique et des auberges de jeunesse.
Étape incontournable lors d'un périple en Andalousie, Séville s'avère également une destination riche pour un long weekend bien rempli. La majestueuse Plaza de Espana, la cathédrale Giralda tout en pierre dentelée, les fines ruelles à la méditerranéenne, les rythmes endiablés du flamenco, la convivialité des bars à tapas, l'excitation d'une corrida, c'est tout ça Séville. Un concentré de vie, de soleil, de culture et d'histoire.
10 incontournables de Séville
- Le palais et les jardins de l'Alcazar
Visite de l'alcazar de seville
Maintenant, nous allons nous diriger au bout de la salle. Par rapport à la porte par laquelle nous sommes entrés, tournons d’un quart de tour sur notre gauche et continuons jusqu’à l’extrémité de la salle. Au bout, sur notre droite, nous pouvons apercevoir les jardins de l’Alcazar. Nous pouvons y accéder par les escaliers qui se trouvent devant nous.
Quand nous arrivons dans les jardins, nous nous trouvons devant un grand bassin carré. C’est le bassin de Mercure car une statue de ce dieu facétieux se trouve au milieu de ce bassin. De l’autre côté du bassin, se dresse un mur plaqué de fausse pierre, imitant les grottes. Ces fausses pierres encadrent des fresques aux sujets mythologiques. Ce type de mur connu un très grand succès dans l’Europe du 16ème siècle.
Ce mur est surplombé d’une galerie. Nous vous invitons à y monter afin de jouir d’une vue éblouissante sur l’ensemble des jardins de l’Alcazar. Une entrée se trouve à chaque extrémité. Pendant ce temps, quelques mots sur ces jardins avant de nous quitter.
Les jardins de l’Alcazar de Séville s’étendent sur 7 hectares. Ils sont le fruit d’une extension progressive, puisqu’une partie de ceux-ci ont été tracés sur l’emplacement d’anciens potagers. Les jardins les plus anciens sont les plus proches du palais. Ils remontent pour l’essentiel à la Renaissance, même si certains conservent un dessin arabo-andalous, c’est-à-dire le style apprécié et développé par les Arabes d’Andalousie. Ce sont des jardins quadrangulaires, qui sont divisés en 4 parties elles-mêmes quadrangulaires par des allées ou bien par des petits canaux. Une nouvelle fois, nous retrouvons l’évocation du Paradis et ses 4 fleuves qui trouvent leur source dans la fontaine centrale. Les jardins les plus éloignés du palais ont été dessinés pour l’essentiel au 19e siècle. Ainsi, à droite du palais, s’étend un grand parc à l’anglaise, aux essences tropicales.
Lorsqu’on tourne le dos au palais, au-delà des jardins renaissance compartimentés, nous pourrons nous amuser à nous perdre dans un labyrinthe de verdure. Après cette visite dense des palais de l’Alcazar, nous vous laissons profiter de la douceur d’une promenade rafraîchissante et enchanteresse dans les jardins.
- La Cathédrale de Séville et sa Giralda
La cathédrale de Séville
l'Andalousie, Espagne
Le vendredi 8 juillet 1401, lors de la réunion du chapitre qui devait décider la construction du monument, un des chanoines prononça cette phrase qui décrit bien l'état d'esprit des autorités sévillanes: "Construisons un temple si grand que ceux qui le verront terminé nous prendrons pour des fous !"
La cathédrale de Séville, (Catedral de Santa María de la Sede) a été construite entre 1402 et le XVIe siècle.
C'est la troisième cathédrale plus vastes aprés la Saint-Pierre de Rome et le Saint Paul de Londre, et évidemment la plus grande d'Espagne. Ses dimensions en font également le plus grand édifice gothique entièrement construit au Moyen Âge.
Elle mesure 115 mètres de long, 76 mètres de large ; les voûtes de sa nef centrale s'élèvent à la hauteur de 42 mètres, ce qui est comparable aux cathédrales de Cologne ou d'Amiens - inférieur cependant à celles de Milan, Palma et Beauvais. Chacune des chapelles latérales pourrait elle-même contenir une église ordinaire.
L'édifice a été construit en lieu et place d'une mosquée almohade, dans le souci de symboliser, par un monument prestigieux, la prospérité de la capitale andalouse devenue une grande cité commerçante après la Reconquista. Les bâtisseurs réutilisèrent des éléments et des colonnes de la mosquée et transformèrent en campanile son minaret, la fameuse tour de la Giralda, aujourd'hui devenue le symbole de la ville.
La cathédrale et la Semaine Sainte
Du dimanche des Rameaux au dimanche de Pâques, lors de la Semaine Sainte, 57 confréries terminent leur procession par la visite de la Cathédrale de Séville.
- Le musée des beaux-arts
voyage en Andalousie,
visite du musée des beaux arts de Séville
Le musée des beaux arts de Séville est installé depuis 1841 dans le couvent de la Merced qui en est un des attraits. L'essentiel de la peinture Sévillane du 15eme au 20eme siècle est retracée ici.
Le petit patio del Aljibe donne sur les premières salles.
La place du musée des beaux arts - plaza del museo de Bellas Artes - avec la statue de Murillo en son centre.
Les premières salles sont ornée de sculptures et de peintures sur bois du 15eme et 16eme siècle.
retable de la passion du Christ de 1415 (anonyme)
Dans cette même salle on verra également une statue de terre cuite polychrome de St Jerôme.
oeuvre de Francesco Pacheco (1564-1644), maître de Diego Velasquez et d'Alonso Cano, représentant St Pierre Nolasque embarquant pour ramener les prisonniers des Maures.
Portrait de Diego Velasquez (1620)
la magnifique salle de l'église de la Merced et ses murs orné de peintures. La coupole translucide éclaire souverainement la galerie.
la Vierge de la miséricorde protège de son manteau des moines chartreux,
et la salle avec un magnifique plafond en bois ciselé.
Suite de peintures représentant un défilé lors de la visite du roi d'Espagne dans les rues de Séville.
Ces peintures permettent de voir l'architecture de la ville au 19eme siècle.
"Scène de cabaret" de Manuel Cabral Bejarano (1827-1891)
"travail à la fabrique de cigares" (1911) qui est maintenant l'université de Séville.
de Gonzalo Bilbao (1860-1938)
"la mort du Maestro " surprenant de réalisme de José Villegas Cordero (1884)
le site du Musée des Beaux arts
horaires et tarifs de visite, accès
Lundi: fermé. Du mardi au samedi de 9h00 à 20h30. Dimanches et jours fériés de 9,00 à 14,30 heures.
Tarif :1,5 €, gratuit pour les personnes faisant partie de l'union Européenne.
bus: C3, C4, C5, 6, 43, CC, 13, 14, B2 et B5
station de taxi à proximité: Calle Marqués de butées, Plaza del Duque Hôtel Colón
Parking public : Armas et Plaza de la Concordia
- L'Espacio Metropol Parasol
- LAS SETAS. (METROPOL PARASOL) COMPARTIR - See more at: http://www.visitasevilla.es/fr/lugar-interes/las-setas-metropol-parasol#sthash.CV7n6IOI.dpuf
Plan
Satellite
Tipo:
Monumentos y lugares de interés
Téléphone:
606635214 / 627015658
Heures d'ouverture:
Plaza de la Encarnación
Heures d'ouverture:
Mirador y pasarelas: Dom.-jue. 10.30 - 23.45 h., vier. y sáb: 10.30 - 00.45 h. Precios: 3 €. Nacidos o residentes en Sevilla capital, gratis.
Le Metropol Parasol, populairement connu comme les champignons de la place de l'incarnation est une structure en bois avec deux colonnes de béton qui hébergent les ascenseurs d'accès au mirador et qui est situé sur la place centrale de l'incarnation de la ville de Séville, en Andalousie (Espagne). Ses dimensions sont de 150 x 70 mètres et a une hauteur approximative de 26 mètres, il a été le projet gagnant du concours ouvert par l'hôtel de ville de Séville pour mener à bien la réhabilitation de la place où il se situe, son concepteur est l'architecte berlinois Jürgen Mayer.
La structure se compose de six parasols en forme de grands champignons, dont le design s'inspire des dômes de la cathédrale de Séville et les ficus de la proche place du Christ de Burgos (Plaza del Cristo de Burgos). Il comporte cinq niveaux. Le niveau supérieur héberge un mirador et une plate forme panoramique d'observation. A l'intérieur des parasols centraux, à 22 mètres de haut, il y a un restaurant à tapas et un espace événementiel. Sous les parasols se trouve une place élevée, ombragée et claire (Place principale), conçue pour accueillir différents événements. Au rez-de-chaussée, se situe le marché actuel de l'incarnation, avec des commerces et des restaurants. Enfin, le sous-sol abrite le musée Antiquarium, qui met en valeur les restes archéologiques trouvés dans ce lieu. Cet Antiquarium a été conçu par l'architecte sévillan Gonzalez Felipe Palomino, qui a participé à l'ensemble de la gestion du projet.
- Les Arènes de Séville
Andalousie,
visite des arènes Real Maestranza de Caballeria de Séville
Les arènes de la cavalerie royale de Séville se situent sur l'avenue (Paseo) de Cristoph Colomb, le long du Guadalquivir.
Les arènes ont été construites entre le 18eme et 19eme siècle sur le mont Baratillo, par les nobles chevaliers qui pratiquaient la tauromachie à cheval. Ce sont toujours eux qui sont propriétaires du lieu.
La visite a lieu chaque jour de 9h30 à 20h, (19h en hiver) sauf le jour des corridas, le vendredi saint et le jour de Noël. Prix des billets : 6,5 euros. Comptez 45mn de visite.
L'enceinte circulaire s'est peu à peu enrichie de bâtiments annexe autour. Ce qui fait que de l'extérieur on ne voit pas les arènes, l'entrée ne se fait que par la porte principale.
12538 personnes peuvent assister aux représentations, ces arènes sont dépassées par la taille par celles de Madrid, Cordoue, Pampelune, Barcelone, ... Il y a des places abritées (du soleil) avec des tribunes et d'autres à l'air, ces dernières sont moins chères.
Les représentations ont lieu à partir du dimanche de Pâques et jusqu'à la féria du mois d'avril.
Il y a en général 18 ou 19 représentations. Certains dimanches de mai, juin et septembre sont également programmés. La saison se termine le 12 octobre.
Les prix d'entrée varient de 30 à 160 euros en moyenne selon le programme et l'emplacement.
Si vous passez par une agence, il faut compter 10 à 15% de frais et autant de billetterie, soit 25 à 30% en plus du prix indiqué.
Essayez les guichets, c'est le prix officiel.
Sur place il y a toujours des revendeurs qui ont des billets, mais c'est plus cher.
La visite des arènes se poursuit pas le bloc opératoire, puis le musée (ci dessus) et ensuite les écuries.
Le musée présente des habits de torero à travers les périodes, et des peintures représentant l'élevage des toros, des scènes de tauromachie comme ci dessus,
et des portraits de matadors célèbres.
des têtes de toros célèbres sont également exposées,
et celle du toro Miura (12ans) de la Ganaderia de Deduardo
qui causa la mort du célèbre torero Manuel Rodriguez Manolete le 28 août 1947.
et des habits de Manolete.
!
visite des rives du Guadalquivir et de la Torre del Oro à Séville
le site officiel de realmaestranza
Votre hôtel à Séville
- La Plaza de Espana
Andalousie,
visite des arènes Real Maestranza de Caballeria de Séville
Les arènes de la cavalerie royale de Séville se situent sur l'avenue (Paseo) de Cristoph Colomb, le long du Guadalquivir.
Les arènes ont été construites entre le 18eme et 19eme siècle sur le mont Baratillo, par les nobles chevaliers qui pratiquaient la tauromachie à cheval. Ce sont toujours eux qui sont propriétaires du lieu.
La visite a lieu chaque jour de 9h30 à 20h, (19h en hiver) sauf le jour des corridas, le vendredi saint et le jour de Noël. Prix des billets : 6,5 euros. Comptez 45mn de visite.
L'enceinte circulaire s'est peu à peu enrichie de bâtiments annexe autour. Ce qui fait que de l'extérieur on ne voit pas les arènes, l'entrée ne se fait que par la porte principale.
12538 personnes peuvent assister aux représentations, ces arènes sont dépassées par la taille par celles de Madrid, Cordoue, Pampelune, Barcelone, ... Il y a des places abritées (du soleil) avec des tribunes et d'autres à l'air, ces dernières sont moins chères.
Les représentations ont lieu à partir du dimanche de Pâques et jusqu'à la féria du mois d'avril.
Il y a en général 18 ou 19 représentations. Certains dimanches de mai, juin et septembre sont également programmés. La saison se termine le 12 octobre.
Les prix d'entrée varient de 30 à 160 euros en moyenne selon le programme et l'emplacement.
Si vous passez par une agence, il faut compter 10 à 15% de frais et autant de billetterie, soit 25 à 30% en plus du prix indiqué.
Essayez les guichets, c'est le prix officiel.
Sur place il y a toujours des revendeurs qui ont des billets, mais c'est plus cher.
La visite des arènes se poursuit pas le bloc opératoire, puis le musée (ci dessus) et ensuite les écuries.
Le musée présente des habits de torero à travers les périodes, et des peintures représentant l'élevage des toros, des scènes de tauromachie comme ci dessus,
et des portraits de matadors célèbres.
des têtes de toros célèbres sont également exposées,
et celle du toro Miura (12ans) de la Ganaderia de Deduardo
qui causa la mort du célèbre torero Manuel Rodriguez Manolete le 28 août 1947.
et des habits de Manolete.
!
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PLAZA DE ESPAÑA
By Fiona Flores - Watson
This massive building is Seville's most impressive after the cathedral, for its sheer scale and grandeur. Love it or hate it - fabulous or fussy, magnificent or overblown, depending on your point of view - you shouldn't miss it when visiting the city. Plaza de España was built for the Ibero-American Exhibition of 1929 (Expo 29), along with many of the pavilions you can see in and around the Parque Maria Luisa.
WHAT AND WHERE IS IT?
Plaza de España is a semi-circular brick building, Renaissance/neo-Moorish in style, with a tower at either end (tall enough to be visible around the city, these towers - north and south - are major landmarks). In front of the building, following the curve of its façade, is a 500-metre canal crossed by four bridges, and in the centre of it all is the Plaza itself. You can rent small boats to row in the canal - the Plaza is known as "the Venice of Seville". A major tourist attraction, it is the finishing point of horse-and-carriage rides.
The Plaza is situated inside Maria Luisa Park, next to Avenida Isabella La Catolica, a pedestriansed avenue with ice-cream sellers and bike rental stands - this is the best way to reach the park, entering near the Teatro Lope de Vega and Fabrica de Tabaco. You also can reach the park from the Prado de San Sebastián (served by metro, bus and tram) on one side, or the river on the other.
Beautiful ceramics visible at the Plaza de Espana
Measuring 50,000 square metres, the Plaza is the size of five football pitches. The building has a ground level portico and first-floor balustrade with balconies stretching along its length. For taking photos, the balconies are a prime spot, reached by staircases, as you can get the whole sweep of the building. The magnificent central balcony is especially impressive.
All along the wall by the canal are 48 alcoves with benches, one for each province of Spain, each with a relevant tableau and map, all designed on colourful azulejos (painted ceramic tiles). Spanish tourists have photographs taken of themselves with family and friends on their home province's bench. In a further regional reference, the four bridges represent the four ancient kingdoms of Spain: Castille, Aragon, Navarre and LeonWHY WAS IT BUILT?
The Plaza was built as the centrepiece of the Expo 29, which took place in Maria Luisa park, as the Pabellon de Andalucia. The architect Anibal Gonzalez designed the Plaza to wow the Expo's other exhibitors, and visitors, from around Spain and Latin America, and to show Seville's talents in industry and crafts. Other pavilions are now museums and offices, including the Pabellon de Bellas Artes, now the Archaeological Museum, and the Pabellon Mudejar, which houses the Museo de Artes y Costumbres Populares - both at the far end of the park.
Coloured ceramics feature heavily around Plaza de España - as well as the provincial alcoves, the walls, ornate bridges and balustrades are also covered in azulejos.
Rowing boats on the canal cost 5 euros for 45 minutes' hire, and Enriqueta, the motor boat, costs 9 euros.
Today the building houses various government offices, including the one (near the North Tower, closer to Sevilla's centre) where you go to get - apply for, and months later collect - your crucial ID document, the NIE (Numero de Identificacion de Extranjero), when you first arrive in Spain.
INTERESTING FACTS
* The Plaza has been used over the decades as a location for filming several movies, such as Star Wars, Lawrence of Arabia), and the more recently, for the latest Sasha Baron-Cohen film.
- Le Parc Maria Luisa
- Il se trouve dans le district Sud, juste au sud du quartier de Santa Cruz. Il est longé à l'est par l'avenue de Borbolla, au sud par l'avenue de Eritaña, à l'ouest par la darse du Guadalquivir et le paseo de las Delicias (qui traverse le parc dans sa partie méridionale). Au nord, ses limites sont moins nettes. Elles sont données par la Place d'Espagne, l'Université de Séville et la rue San Fernando. Monuments et édifices[modifier | modifier le code] Monument à Gustavo Adolfo Bécquer[modifier | modifier le code] Le monument à Bécquer Monument à Miguel de Cervantes[modifier | modifier le code] Fontaine des Lions[modifier | modifier le code] La Fontaine des Lions Flore et faune[modifier | modifier le code]
De nombreux bâtiments et monuments emblématiques de Séville se trouvent à l'intérieur ou juste en marge du parc de María Luisa. Parmi eux, citons l'Université, la Place d'Espagne, la Plaza de América, tous les pavillons de l'Exposition ibéro-américaine de 1929 et le Palais de San Telmo. De plus, la rue San Fernando sépare le parc des jardins de l'Alcázar.
Le parc abrite de nombreux étangs et fontaines. Parmi les plus célèbres, citons la Fontaine des Lions (Fuente de los Leones) et l'Étang des Lotus (Estanque de los Lotos)2.
Il se trouve au nord du parc, le long de l'avenue Gustavo Adolfo Bécquer. Il fut réalisé en 1912 par Lorenzo Coullaut Valera2, avec la collaboration de l'architecte Juan Talavera Heredia et du sculpteur catalan Federico Bechini.
Le monument consiste en une base octogonale, entourant un arbre, dans laquelle est intégré, sur un piédestal, le buste du poète. À sa droite se trouve Cupidon enfant lançant des flèches à trois jeunes femmes. À la gauche du buste se trouve Cupidon adulte, poignardé et mourant. Les deux anges sont en bronze, le reste de l'œuvre étant en marbre blanc. Cette scène est inspirée de son recueil de poésies Rimas.
Il se trouve sur la Plaza de América, non loin du Pavillon Royal. Il fut réalisé en 1913 par l'architecte responsable de l'Exposition ibéro-américaine, Aníbal González, avec la collaboration de Ramos Rejano et d'Eduardo Muñoz. Il s'agit d'un espace polygonal décoré d'azulejos retraçant des scènes des œuvres de Cervantes. Deux statuettes, représentant Don Quichotte sur son cheval et Sancho Panza sur son âne, s'y sont également longtemps trouvées. Elles ont actuellement disparu.
La Fontaine des Lions (Fuente de los Leones en espagnol), sur une idée de Jean Claude Nicolas Forestier datant de 1913, fut réalisée par le sculpteur Manuel Delgado Brackenbury. Elle est composée de quatre lions de pierre, portant chacun un bouclier, placés sur quatre des huit faces d'une fontaine octogonale dans laquelle ils crachent de l'eau. La fontaine est décorée d'azulejos provenant de l'atelier de Manuel Ramos Rejano. Les lions furent installés en 1928. Très abîmés, ils furent remplacés en 1957 par des copies du sculpteur sévillan Juan Abascal. La fontaine fut restaurée en 1992.
Le parc est aussi un jardin botanique. De nombreuses espèces végétales, locales ou exotiques, y sont représentées, accompagnées de panneaux didactiques à l'attention du promeneur. On y retrouve notamment de nombreuses espèces de palmiers et de cycadales : des palmiers nains, des cycas du Japon, des kentias, des Livistona chinensis, des dattiers des Canaries, des dattiers, des dattiers du Sénégal, des choux palmistes, des palmiers Pindó, des palmiers de Chine, des palmiers de Californie et des Washingtonia robusta1.
De nombreux oiseaux ont élu domicile dans le parc, qui est connu notamment pour sa grande population de colombes. On peut également y voir de nombreux perroquets verts, ayant élu domicile dans les platanes du parc, ainsi que, dans les fontaines et lacs, des canards et des cygnes.
Palmiers du parc
Le Mont Gurugú
La Plaza de América et ses jardins
- La Casa de Pilatos
http://fr.fundacionmedinaceli.org/monumentos/pilatos/
Le musée archéologique de Séville
sée archéologique de Séville
Posted on 08/02/2012
1 Vote
Le musée archéologique de Séville se situe dans le parc de Maria Luisa, en face de la Place d’Espagne, dans le pavillon des Beaux-arts construit à l’occasion de l’exposition ibéro-américaine de 1929 par Aníbal González. Il est consacré tout entier au passé préhistorique de la région andalouse ainsi qu’à son étape romaine, jusqu’à la décadence et l’arrivée des wisigoths et des arabes.
S’il vous prend l’envie de creuser un trou à Séville, il y a de fortes chances pour que vous tombiez sur des restes romains. C’est ce qui est arrivé aux ouvriers sur le chantier des la place de la Encarnacion où s’érige depuis peu le Metropol Parasol (qu’on appelle « las setas », les champignons, on comprend tout de suite pourquoi en le voyant) : en creusant selon les plans du parking qui était prévu à l’époque du début des travaux, ils sont tombés sur des restes particulièrement bien conservés de la cité romaine d’entre le Ier et le VIe siècle ap. J.C. et même sur quelques restes de l’époque almohade. Du coup, le projet a été quelque peu modifié, et il est maintenant possible de visiter l’Antiquarium de Séville, dans le sous-sol de las setas.
Entrée de l'Antiquarium de Séville
Évidemment, il y a eu bien d’autres trous faits dans Séville à d’autres époques, ainsi que dans toutes les provinces andalouses, et le musée archéologique s’est créé dans l’idée de réunir une collection d’antiquités, la plupart provenant de l’ancienne cité d’Itálica, située dans l’actuel village de Santiponce dans les alentours de Séville, qui fut un lieu de villégiature de la haute société romaine de la Baetica dans le Sud-ouest de la péninsule ibérique.
Le musée se compose de trois étages :
• le sous-sol, consacré à la préhistoire, âge du cuivre, âge du bronze, époque tartessienne et ibérique. C’est là que se trouve, en temps normal (parce qu’en ce moment, depuis le 18 janvier 2012, il se trouve en exposition temporaire au 1er étage), le fameux trésor du Carambolo qui est considéré comme un début d’explication de la culture de la mythique Tartessos. Le Carambolo se situe dans la localité de Camas, banlieue de Séville, et on y a retrouvé les restes d’un temple consacré à la déesse Astarté et, très probablement, au dieu Baal, ainsi qu’un magnifique trésor de bijoux en or pur (et c’est là que mon rythme cardiaque s’accélère et que j’ai des envies de désactiver le système d’alarme afin de m’emparer d’une paire de boucles d’oreilles et d’un ou deux bracelets…)
Statue représentant la déesse Astarté
Là je me serais bien servi mais c'était bien gardé...
Statue du dieu Baal
• le rez-de-chaussée, consacré à l’époque romaine, depuis les premiers temps de la romanisation de la Baetica jusqu’à la décadence. L’art statuaire est au rendez-vous, avec de magnifiques pièces représentant Mercure, Vénus ou encore les empereurs Trajan et Adrien. Plusieurs mosaïques exceptionnellement bien conservées ornent également les différentes salles de cet étage.
Mercure aux pieds ailés, les beautés de l'art statuaire greco-romain
Ariane couchée
• Enfin, au premier étage se trouvent une bibliothèque spécialisée en archéologie, art et muséologie, la salle d’expositions temporaires, ainsi que les parties administratives du musée.
Voilà. Et qu’apprendrez-vous donc en visitant le musée ? Un tas de choses. En tout premier lieu, que le fleuve avait son estuaire juste aux pieds de l’actuelle Séville et qu’il y avait un golf large entre Sanlúcar la Barrameda et Rota. Que donc, la civilisation s’est développée dans la région autour du commerce maritime, que le phéniciens s’y installèrent et y apportèrent leur savoir-faire oriental. Vous y apprendrez également que les Romains en firent un centre culturel, commercial et politique. Et puis vous aurez les yeux éblouis par l’or des Tartessos et l’art des sculpteurs romains. Tout ça à vraiment pas cher, ça vaut le coup d’y faire un tour.
Plaza de América, s/n, 41023 Sevilla
Tel: (0034)954 78 64 74
www.museosdeandalucia.es/cultura/museoarqueologicosevilla
Entrée :
• 1€50
• Gratuit pour les membres de la communauté européenne
La Torre del Oro
TOUR D'OR (MUSÉE NAVAL) (TORRE DEL ORO)
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Satellite
Tipo:
Monumentos y lugares de interés
Téléphone:
954 22 24 19
Heures d'ouverture:
Paseo de Cristóbal Colón, s/n. Sevilla
Heures d'ouverture:
Lun a vie: 9.30-18.45 h. Sáb y dom: 10.30-18.45 h. Festivos: cerrado.Precio: 3€;1.5 € est. Niños 6-14 años, > 65-pensionistas.Grupos:Gratis < 6 años, minusválido.Gratis: Lunes.Audioguía 2 €.torreoro@fn.mde.es
Prix: 3 € ; 1,5 € étudiants et retraités. Groupes reservés ; < 6 ans, gratuite. Le lundi: 2 € Audio-guide
Il s'agit d'une tour de guet située sur la rive gauche du fleuve le Guadalquivir à Séville, à côté de la place de taureaux de la Real Maestranza. Sa hauteur est de 36 mètres. Son nom arabe était Bury al-Dahab, Borg al Azahar, ou Borg al-Azajal en référence à son éclat doré qui se reflétait sur le fleuve. Lors de la restauration en 2005, il a été démontré que cette luminosité, qui jusqu'ici était attribuée à un revêtement de mosaïque, était en fait due à un mélange de mortier de chaux et de paille pressée. Il s'agit d'une tour composée de trois parties, le premier corps, dodécagonal, a été construit entre 1220 et 1221 par ordre du gouverneur almohade de Séville. Le second corps, également dodécagonal, a été construit par Pierre I le Cruel au XIVe siècle.
Le corps supérieure, cylindrique, couvert d'une coupole, a été construit en 1760 par l'ingénieur militaire Sébastian Van der Borcht. Elle a été déclarée monument historique et artistique en 1931 et a été restaurée plusieurs fois. Elle abrite le Musée naval de Séville. Elle fermait le chemin jusqu'à l'Arenal par un pan de la muraille qui la reliait à la Torre de la Plata (tour d'argent), qui faisait partie des murailles de Séville, qui protégeait l'Alcazar.
La flotte castillane commandée par l'amiral Ramón de Bonifaz a détruit le pont en 1248, en remontant le fleuve, tandis que les troupes de Ferdinand III de Castille assiégeaient la ville. Ce passage historique mis en scène par les marins, au service de la marine castillane, resta immortalisé dans les blasons des quatre villes de la côte Cantabrique. (Laredo, Castro Urdiales, Santander et San Vicente de la Barquera, et fut ensuite incorporé au blason de Cantabrie, on y représente la tour d'or et un navire rompant les chaines qui fermaient le passage par le fleuve Guadalquivir.
10 expériences à vivre à Séville
- Flâner dans le quartier de Santa Cruz
- Faire du shopping dans le quartier de Siempres
- Se mettre au vert dans le parc Maria Luisa
- Faire une promenade en bateau dans la rivière Guadalquivir
- Déguster une paëlla
- Goûter à toutes les sortes de tapas
- Découvrir les coutumes d'Andalousie au musée des Arts et traditions populaires de Séville
- Acheter des souvenirs au marché d'artisanat d'El Postigo
- En prendre plein la vue au Centre Andalou d'Art contemporain
- Assister à la féria sévillane
Guide : comment se rendre à Séville
-En train :
Séville est reliée quotidiennement à Madrid par plusieurs trains à grande vitesse, comptez 3 heures de trajet de puis Madrid, une heure depuis Cordoue.
→ Infos RENFE : www.renfe.com
-En bus :
Séville est très bien desservie par le bus, des autocars arrivent en provenance de l'Andalousie, de l'Espagne et du Portugal dans l'une des deux gares routières de la ville ; Estación del Prado de San Sebastián et Estación de la Plaza de Armas. Eurolines dessert également Séville depuis la France (www.eurolines.com).
-En avion, transfert aéroport :
L'aéroport de Séville-San Pablo est situé à environ 10 km du centre de la ville. Bus et taxis vous permettront de rejoindre le centre. Compter une vingtaine d'euros pour la course en taxi et 4 euros pour le transfert par bus (fonctionne uniquement en journée).
→ Infos aéroport de Séville : www.sevilla-airport.com
-En voiture :
Séville est particulièrement bien connecté au réseau auto-routier, la ville est reliée à toutes les villes andalouses et aux principales villes espagnoles, ainsi qu'au sud du Portugal.
Guide : se déplacer à Séville
-En bus :
Vaste réseau géré par l’entreprise Tussam, les bus circulent fréquemment et couvrent l'ensemble de la ville. Pour emprunter le bus achetez une carte magnétique rechargeable (1,50 euro) sur laquelle vous pourrez stocker vos voyages, 70c le trajet unique.
-En métro :
A l'heure actuelle Séville dispose d'une ligne de métro, la ligne 1, mais 3 autres lignes sont prévues.
La ligne 1 traverse tout Séville du sud- ouest vers le sud-est en passent par le centre-ville et les stations de la Plaza de Cuba, Prado de San Sebastian et San Bernardo.
Le ticket de voyage unique coûte 1,30 euros, le métro fonctionne de 06h30 à 23h en semaine et jusqu'à 2h le week-end.
-En tramway : Une ligne de tramway traverse le centre de la ville depuis la gare de San Bernardo vers la Plaza Nueva. La station du Prado permet la correspondance avec la ligne 1 du métro. Le tram roule de 6 h à 2 h du matin.
-En voiture :Attention, la circulation est chaotique et les vols à l'intérieur des voitures fréquents. Ne jamais rien laisser dans un véhicule, même dans un parking.
-A vélo :
Séville dispose de plusieurs dizaines de kilomètres de pistes cyclables, des vélos en libre service sont disponibles dans des stations comparables à celle du Vélib parisien.
- See more at: http://www.cityzeum.com/guide/seville#guidesc
voyage en Andalousie,
visite du musée des beaux arts de Séville
Le musée des beaux arts de Séville est installé depuis 1841 dans le couvent de la Merced qui en est un des attraits. L'essentiel de la peinture Sévillane du 15eme au 20eme siècle est retracée ici.
Le petit patio del Aljibe donne sur les premières salles.
La place du musée des beaux arts - plaza del museo de Bellas Artes - avec la statue de Murillo en son centre.
Les premières salles sont ornée de sculptures et de peintures sur bois du 15eme et 16eme siècle.
retable de la passion du Christ de 1415 (anonyme)
Dans cette même salle on verra également une statue de terre cuite polychrome de St Jerôme.
oeuvre de Francesco Pacheco (1564-1644), maître de Diego Velasquez et d'Alonso Cano, représentant St Pierre Nolasque embarquant pour ramener les prisonniers des Maures.
Portrait de Diego Velasquez (1620)
la magnifique salle de l'église de la Merced et ses murs orné de peintures. La coupole translucide éclaire souverainement la galerie.
la Vierge de la miséricorde protège de son manteau des moines chartreux,
et la salle avec un magnifique plafond en bois ciselé.
Suite de peintures représentant un défilé lors de la visite du roi d'Espagne dans les rues de Séville.
Ces peintures permettent de voir l'architecture de la ville au 19eme siècle.
"Scène de cabaret" de Manuel Cabral Bejarano (1827-1891)
"travail à la fabrique de cigares" (1911) qui est maintenant l'université de Séville.
de Gonzalo Bilbao (1860-1938)
"la mort du Maestro " surprenant de réalisme de José Villegas Cordero (1884)
le site du Musée des Beaux arts
horaires et tarifs de visite, accès
aire très bien placé à 500 m du bus. ou on peut aller à pied ou en vélo le top.
La ville de Séville en Espagne propose désormais une nouvelle aire de stationnement privée particulièrement agréable pour les camping caristes : l’aire de Camping-Car de Séville Centre. À la situation idéale, à proximité des nombreux attraits de la ville et en bordure du Gualdalquivir. Pour tous renseignements rejoigniez-nous à www.areasautocaravanas.com
Coordonnées GPS : Longitude : -5.99449 Latitude : 37.36289
Adresse :
Avenida de García Morato nº3
41011 Sevilla
Type de l'aire : Aire chez un concessionaire
Contact : Sandra Fernández-Arias , Tél. : 00 34 619261325
Nous rentrons, en passant par CORDOBA puis madrid
FIN des vacances.